Phénomènes de l'incroyance

Le phénomène de croyance dans les sociétés. On peut se poser les questions sur l’incroyance. L’incroyance n’est pas une absence de spiritualité.

I. La frontière entre la croyance et l’incroyance :

Athée : ne pas croire en l’existence de Dieu et rien d’autre que le monde sensible.
Ce mot apparaît au 16ème siècle durant les guerres des religions  stigmatiser les protestants.
Agnosticisme : attitude selon laquelle ce qui dépasse les apparences sensibles est inconnaissable. « il ne sait pas si Dieu existe ».
Rationaliste : celui qui dit que ne sont vraies que les hypothèses qui sont rationnellement défendables. Tout ce qui est fondé sur la raison. Il existe en France un courant, qui est un journal « La libre pensée », qui essaie de se détacher de tous les dogmes ; de penser librement et qui ne pose aucun apriori sur la connaissance.

Dans l’athéisme, plusieurs attitudes : l’athéisme humaniste : l’homme est la référence de toute chose, c’est à son échelle que l’on doit mesurer la réalité.
L’athéisme spirituel : inexistence de Dieu n’empêche pas éventuellement de considérer d’autres hypothèses ou formes de pensée abstraites.
L’athéisme passif : athéisme faible, simple sensation, intuition, fait par conformisme familial ou social.

Dans le monde, en 2000 : plus de 1 milliard d’agnostiques
262 millions d’athées

En 2005, 25 % des pays de l’ouest en Europe se disent athées contre 12 % des pays de l’est.

La libre pensée : avant la guerre de 1914 a constitué une force très importante. En 1965, la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat. La libre pensée dans ces combats a été importante. Son expression apparaît en 1840 jusqu’à la révolution de 1848 et signifie : une attitude, une manière de penser librement hors de toute religion (Victor Hugo y appartenait).
Leur but est de combattre l’Eglise la majorité est anti confessionnelle et une minorité antireligieux.
Etre anti confessionnel, c’est être contre l’influence des Eglises dans la