Article Centralala
Comme vous le savez peut – être (ou peut-être que vous ne le saviez pas, que pour être honnête, vous n’en avez pas grand-chose à foutre mais que le centralala se retrouve juste en face de vous au moment où vous alliez justement faire un petit détour aux chiottes, et que donc c’est l’occasion de l’apprendre), je suis en ce moment même en erasmus à Madrid !
Je me suis donc dit que c’était l’opportunité rêvée de vous donner une idée de comment ça se passe chez ces gros bouffeurs de tortilla
1) La picole ne coute rien !
Quand on sort de Louvain (et quand on a connu la chope à 90 cents quand tout le reste de la Belgique était passé à un euro), on a l’impression qu’on a connu la bière la moins chère du monde… Jusqu’à ce qu’on se ramène à Madrid .
Tous les soirs, il y a moyen de trouver des bars qui font des méga réductions, comme la 50 à un euro, ou le demi litre de sangria à 1,20 euros ; mais aussi des boites qui, pour ramener des gens, font open bar jusque 2h du mat (…de base !)
2) La bouffe non plus !
Pour manger aussi, c’est le pays des bons plans : dans pas mal de bars, tu reçois des tapas bien consistants avec ce que tu bois, donc si tu bois quelques verres, tu ressors en ayant soupé pour quedalle.
En dehors des tapas, les restos en eux même sont vraiment moins chers qu’en Belgique, mais du coup tu bouffes bcp plus dehors, et du coup tu douilles beaucoup plus aussi donc c’est un peu à double tranchant.
En plus c’est vraiment bon puisqu’il faut partir du principe qu’à peu près tout est frit ici !
3) Tout est méga décalé
Pour l’instant, j’en suis encore au stade où je mange 4 fois par jour parce que j’arrive vraiment pas à attendre jusque 15heures pour diner et 21h pour souper, mais sinon, c’est fort marrant de voir à quel point les gens vivent différemment de chez nous : la ville est hyper calme entre 12 et 15h, puis tout est réouvert jusque 22heures, les restos sont bondés à 23heures, les gens prennent le métro d’1h30 pour sortir, vont boire un