Arctique
Tout d’abord l’intégration de l’arctique crée des tensions géopolitique (c’est-à-dire : la science des rapports entres états en particuliers dans leur façon de gérer les espaces et les ressources) à l’espace mondial. Parmi ces tensions il y à des ouvertures de routes maritimes, ce qui cause une éventuelle tension entre les cinq Etats riverains (Danemark, Norvège, Russie, Etats Unis, Canada), mais il y en à aussi à propos du partage des eaux maritimes (ZEE). Cependant, les populations autochtones comme les Inuits ou les Samis ont revendiqué un rôle politique et économique dans les choix de développement de leurs régions boréales. L’arctique est riche en ressources (fer, gaz, pétrole …), mais, elles sont pour l’instant peut exploitées, d’ailleurs, certaines estimations disent qu’il y aurait un quart des réserve d’hydrocarbures dans cette région.
Puis, nous pouvons dire que l’arctique est une nouvelle frontière, grâce à ces plusieurs critères ; avec la fonte de la banquise provoquée par le réchauffement climatique, l'Arctique apparaît de plus en plus comme une nouvelle frontière convoitée par les pays qui bordent cet océan glacial. La limite entre le monde peuplé et exploité (oekoumène) et le monde « sauvage » se déplace. Le respect de l’environnement, la redéfinition des frontières entres états dans l’espace arctique et la conciliation et mise en exploitation font partis des termes que nous utilisons pour qualifié l’arctique de nouvelle frontière.
Nous en concluons que l’arctique est une nouvelle frontière qui crée certaines tensions géopolitiques ; au niveau des ressources exploitables, ouvertures de routes maritimes … Toutes ces tensions menacent le peuple