Management des entreprises 09/01/12 Cas Colorii

Note : | Observations : |

I. Analyse de la situation de l’entreprise
1. Selon Joseph Schumpeter, entreprendre c’est d’abord prendre des risques et innover, être capable de jouer sa carrière et sa sécurité financière pour mettre en œuvre une idée.
L’entrepreneur a en lui cette nécessité de construire le besoin d’aventure animé par le besoin d’indépendance et de réalisation, sinon de volonté de puissance. Schumpeter développe encore la notion de « destruction créatrice ». L’entrepreneur détruit des marchés et des secteurs de l’économie pour les remplacer, contribuant ainsi au dynamisme et à la croissance à long terme.
Dieynaba Bakiri et Cécile Abric révolutionnent l’univers de la beauté en créant le rendez-vous incontournable des femmes aux peaux noires, mates et métissées. Elles ont pris des risques, pour mener à bien ce projet et on su offrir à toutes ces femmes cette nouvelle opportunité.

2. Les finalités de Colorii sont les finalités économiques car l’entreprise a pour but de produire des biens et services destinés à être vendus sur un marché dans la perspective de créer et développer une clientèle.
Dieynaba Bakiri d’origine sénégalaise ne trouvait crèmes et fonds de teint adaptés à sa peau noire que dans les « afro-shops » du boulevard Sébastopol, à Paris, et les corners des grands magasins. C’est pour cela qu’elle met en place avec une ancienne collègue, Cécile Abric, un concept de boutique de produits de beauté pour peaux noires et métisses.
De plus, Colorii a aussi une finalité financière car elle doit pérenniser et rentabiliser son projet en mettant en œuvre des actions qui lui permettront d’améliorer la satisfaction des clients et de les fidéliser.

II. Identification du problème de management
3. Pour réaliser leur projet, Dieynaba Bakiri et Cécile Abric démarchent les banques et font appel aux conseils des experts de l’Agence pour la création d’entreprises de la chambre de