face à un journaliste en opération

Je suis sollicité par un journaliste : j’accueille le journaliste je lui demande :
• l’objet de sa visite • son identité • son média (journal, radio, TV…)

!

je rendS compte à mon chef.

Je ne dévoile pas d’informations qui pourraient remettre en cause les opérations en cours, ma mission, ma sécurité, celle de mes camarades et de ma famille

Un journaliste me demande une interview :
S’il n’eSt paS accompagné par une autorité militaire, je l’oriente vers mon chef Si je SuiS autoriSé à répondre :
• Je reste à mon niveau de responsabilité • Je parle uniquement de ma fonction, de ma mission • Je fais preuve de discrétion pour les informations ou documents dont j’ai connaissance • Je respecte le devoir de réserve et je n’exprime pas d’opinions politiques, religieuses… • J’emploie des mots simples sans utiliser de jargon militaire (abréviations…) • Je reste cordial et naturel • Je ne cède pas à l’émotion, à la colère • Je ne mens pas.

relatives aux informations en opération

Sécurité liée à l’utilisation des moyens de communication personnels
1- je vide mon téléphone portable de toutes informations personnelles (numéros, photos, adresses, etc.) avant mon départ en OPEX.

phie pas et je ne diffuse pas d’images de ma basevie, des installations, des matériels, du personnel.

3- Quand je quitte la base-vie, je laisse mon téléphone portable, mon appareil photo, (etc.), avec mes affaires personnelles.

4- par internet (sites, blogs, mails…), je ne diffuse aucune information sur les opérations, les unités, les identités (respect de l’anonymat) de mes camarades.

2- Quel que soit le moyen utilisé, je ne photogra-

Un photographe, un caméraman souhaite faire des photos, filmer : je l’informe qu’il n’est pas autorisé à filmer la force et ses installations sans la présence d’une autorité. S’il ne reSpecte paS meS conSigneS :
Je rends compte immédiatement à mon chef. En attendant l’arrivée d’une autorité : • Je