APPORT THÉORIQUE DIABETE
Signes neurovégétatifs : pâleur, palpitations, tremblements, sueurs, sensation de faim. céphalées (maux de tête), nausées, tachycardie (accélération du rythme cardiaque), pâleur, sueurs froides, anxiété, frissons, somnolence, nervosité, tremblements, faiblesse inhabituelle ou fatigue
Signes de neuroglycopénie : asthénie intense, anxiété, ralentissement intellectuel, troubles de la parole, troubles de la vue, paresthésies des extrémités ou péri-buccales, troubles du comportement (état ébrieux, agressivité), crises comitiales, paralysies, syndrome confusionnel voire coma (agité, d’installation rapide).
Le traitement doit être institué le plus rapidement possible :
Par le patient ou l’entourage lorsque l’alimentation est possible :
* vérifier la glycémie capillaire,
* faire absorber 15 à 20 g de sucre (3 à 4 morceaux de sucre, une petite bouteille de jus de fruit, 2 à 4 biscottes, 2 c à café rases de confiture ou de miel. et contactez immédiatement le SAMU (15) ou les pompiers (18).
* contrôler la glycémie capillaire quelques minutes après,
* se méfier de la durée parfois prolongée du malaise et de sa récurrence après traitement en surveillant de façon prolongée le patient .
2) Qu’est ce que l’hémoglobine Glyquée
Dans le sang, l’hémoglobine contenue dans les globules rouges, se comporte (entre autres !) comme une "éponge à sucre" : elle se charge progressivement du sucre contenu dans le sang.
Quand la glycémie est normale, au terme des 120 jours de vie d’un globule rouge, 4 à 6 % de l’hémoglobine est chargée en sucre.
Chez le diabétique, l’hémoglobine est d’autant plus chargée en sucre que le diabète aura été mal équilibré pendant les 3 mois de vie du globule rouge. C’est une bonne mesure de l’imprégnation globale de l’organisme par le sucre en excès et donc de l’agressivité du diabète pendant cette période.
Le risque de complications à long terme chez le diabétique est directement en relation avec le taux de