Antoinette
LE JOUR FATIDIQUE
Aujourd'hui c'est le jour de ma mort. Dans moin de cinq heures je setrais excutée en place publique. Cela fait des jours que je suis enfermée, mal nourrie. Je me sens sale et isolée.
Ma céllule est étroite, insalubre, il fait froid et ma seule lumière est celle qui traverse la petite fenêtre qui se trouve au dessus de ce tas de pailles qui me sert de lit.
Les rats sont les seuls "compagnons" qu'il me reste. La nourriture est infecte, mais c'est la seule que j'aurai.
Il est neuf heures plus que trois heures environ. Je suis vêtu que de ma robe déchirée, boueuse, elle ne resemble qu'à un tas de tissu qu'on aurai jetée depuis bien longtemps. J'aurais voulue être élégante le jour de ma mort, mais ce n'est pas le cas.
FLASH BLACK
Je me souviens d'un matin, je m'étais levée tôt comme tout les autres matins, mon habilleuse étais avec moi dans une salle ou elle me confectionnais une superbe robe, élégante et sofistiquée.
Elle étais d'un bleu ciel immaculée, longue. Le décolté étais sufisemment plongeant pour voir le début de ma poitrine, où se trouvait de la dentelle ainsi que sur mes hautes manches. Ma robe se serrée au buste, se relachais en bas au point que mes chaussures ne se voyaient. Un noeud ornait le dessus de mes hanches.
Mes filles la trouvait magnifique qu'elles auraient aimées porter la même. C'étais la belle époque.
FIN DU FLASH BLACK
Un bruit fort me fait revenir au présent, j'étais tellement absorbée par mes souvenir que j'en aurai presque oublié l'appel de la faucheuse.
Je regarde l'horloge à travers ma fenêtre et rem arque qu'il me reste plus qu'une heure et demi avant la fin. J'ai l'estomac noué par la peur de savoir que je saurai bientôt sur les planches face à la guillotine.
J'ai pour m'occuper une pierre qui traine dans cette "cage", j'écrivais les noms des êtres qui me sont cher. Des bruit de pas au loin me font relevée la tête, un homme au regard avide se tenait devant les barreaux , il sort les