Antoine et louis l'aveu
Explication n°10
III. Je ne me souviens pas du titre que nous avio,s adopté en classe mais le 3ème mouvemnt de l’extrait se caractérise essentiellement par l’aveu d’Antoine.
Antoine acquiert une assurance croissante
- Antoine s’efface au profit du « nous » (anaphore « nous pensions ») ; il s’inscrit dans un groupe qui fait de Louis un étranger radical (le « tu » s’oppose à la répétition anaphorique « beaucoup de gens » = Louis est isolé, marginalisé)
- L’expression de la certitude se développe dans a tirade : adverbes à valeur de certitude (en effet, assurément), généralisation et recherche de vérité (recours aux comparaisons « comme on ose… »,
« comme une chose... » à valeurs de vérités générales.
Antoine passe alors aux aveux
Cert aveu s’énonce progressivement, en 3 temps :
- il évoque d’abord le secret, le non-dit familial ce qui crée une attente (« comme on ose évoquer …afficher plus de contenu…
La parole semble, à force de se dire, me dans l’hésitation, libértarice et conduire à à l’aveu: fianlement, Antoine parvient ici à « dire », à « avouer », là où son frère a échoué. La parole revêt ici une dimension cathartique plus optimiste puisqu’elle permet à Antoine de se défaire du non-dit de l'enfance : une fois que les choses sont dites, on n’a plus à les subir.
La tirade se poursuit en dvéloppant le thème de la parole au sein de cette