Ponteville Commentaire le 25/04/08
Martin
3°C

Dans cet extrait du livre « Effroyables Jardins » de Michel Quint, le narrateur montre un homme vivant une double vie, d’un côté un instituteur père de famille,de l’autre un clown très professionnel qui prend son rôle très au sérieux. Certains éléments confirment ce que j’ai énoncé comme à la ligne 1 et 2 « on l’appelait à la maison, par téléphone. Il demandait juste le lieu et l’heure » ou encore à la ligne 5 « elle le regardait vérifier ses accessoires. » Ceci montre le professionnalisme avec lequel André joue son rôle de clown. Mais il a bien d’autres facettes, il est désigné comme un guerrier partant à la guerre ce qui est indiqué à la ligne 9 « hésiter, faire comme si cela lui pesait de nous laisser en plan, de nous sacrifier à son plaisir. » d’autres par le nombre d’occurrence du mot sacrifice ou sacrifier aux lignes 10, 21 et 22 appuie la thèse. Ces 2 paragraphes montrent qu’André prend son rôle de clown très au sérieux alors que son fils le décrit à l’aide d’une métaphore filée qu’il est comme un guerrier à la guerre.

Lucien, son fils, éprouve aussi de la honte et du dédain envers la deuxième vie de son père qui est celle du clown. Il utilise plusieurs procédés pour montrer ce qu’il ressent : le nombre d’occurrence du pronom personnel « il » qu’il remplace au groupe nominal « mon père » ; ensuite il énonce son dédain à travers différents mots comme le montre la ligne 43 « ridicule » ou à la ligne 84 « minableries ». De plus il montre à travers le champ lexical de la citoyenneté et du patriotisme qu’il est admiratif de l’homme qui est son père, ce champ lexical est relevé à certaines lignes de cet extrait : à la ligne 20 « patriote », à la ligne 72-73 « il méritait la distinction, la légion d’honneur de la reconnaissance… » ou encore à la ligne 76 « hommage » enfin comme à la ligne 80 « devoir ». Ces 2