ANTIGONE De Jean ANOUILLE
Objet d’étude : la mémoire « je me souviens ».
I. introduction
Antigone est ce qu’on appel une réécriture qui suppose un récit originel, une genèse. Cette genèse vient au Vème siècle avant notre ère lors de la fondation du théâtre grec à Athènes, pièce rédigée par Sophocle au Vème siècle avant notre ère.
Pourquoi réécrire en 44 Antigone ? que représente ce personnage dans le contexte de l’occupation ?
Le premier texte est appelé l’hypotexte ( le texte source)
La réécriture est appelé l’hypertexte : c’est ce que le texte devient lorsqu’il a été ancré dans une mémoire collective.
Lorsqu’on parle de réécriture on parle d’hypertextualité.
L’intertexte c’est tous ce qu’il y a autour du texte. Gérard genette, ( narratologue) il parle « le palimpseste » , terme du moyen âge , on écrivait très peu les textes car les cuire coutait cher et il y avait donc une tradition orale, les clercs utilisais une brosse et grattait le cuire pour efface le premier texte originels pour réécrire dessus. C’est une surcouche qui va venir apporter une modification au texte originel tout en conservant certaines bases.
Dès le XVIème siècle on a recours a ce qu’on appel l’imitation, au XVIème siècle c’est même une exigeante si on souhaite être un bon écrivain, il y a ce qu’on appel les poète de la pléiade, qui veut non seulement imité les anciens mais aussi rivalisé avec eux.
Ex : les regrets de DU BELLAY sont une réécriture d’un texte les tristes et les pontiques d’OVIDE qui a était exilé par octave auguste sur le pont EUXIN. Autre réécriture : Electre de GIRAUDOUX, HEINER MULLER qui a réécrit Hamlet- machine, Antigone de BRECHT.
AU XVII , il y a une poursuite de la réécriture, par exemple avec Jean de la Fontaine, car il reprend les fable du modèle Grec ESOPE.
C’est au XVIII que l’imitation ne va plus être le modèle, on va avoir une la notion d’auteur qui émerge et les prémices de la notion de droits d’auteur, la notion de