annalyse reflexive pratique
Monsieur X est rentré à l’hôpital pour une anémie à 7g/l, un déséquilibre du diabète. Il est souvent en hypoglycémie. Comme antécédent médicaux, monsieur X est atteint de la « maladie des agglutinines froides ». C’est une forme d'anémie hémolytique auto-immune définie par la présence d'auto-anticorps « froids », c'est-à-dire actifs à des températures inférieures à 30 °C.
Ayant une anémie à 7g/l la diabétologue décide de transfuser. De ce faite je me désigne pour pratiquer l’acte transfusionnel sous la surveillance de l’infirmière en poste. Dès la réception du culot à la surveillance de la transfusion. Le culot déjà commander, je me rends auprès du patient pour l’avertir du soin, pour savoir si il à des questions, des remarques ou même des inquiétudes. Il me répond que tout va bien que la diabétologue est passée pour lui donner toutes les informations liées à la transfusion, qu’il avait rempli la feuille de consentement. Monsieur X est une personne âgée qui a tout le temps le sourire. Il est ouvert à la communication et ait satisfait de sa prise en charge à la clinique. A la réception du produit sanguin, je vérifie les documents. Je fais le contrôle ultime de concordance comme la circulaire n°582 du 15 décembre 2003 relative à la réalisation de l’acte transfusionnel le stipule. C’est-à-dire que je fais une vérification de l’identité du receveur et de sa concordance avec les mentions portées sur l’ensemble des documents et entre le groupe et le numéro d’identification du produit sanguin mentionnés sur la fiche de délivrance et sur l’étiquette de la poche. Tout concorde par conséquent je nettoie mon chariot et prépare mon matériel pour la transfusion. Arrivé auprès du patient je fais mon contrôle ultime de comptabilité entre le sang du patient et les globules rouge de la poche à l’aide du DIAGAST. En effectuant le contrôle ultime auprès du patient, je me rendis compte après