Animation de réunion
La frustration est un lien avec l’objectif poursuivi par l’individu. Le cumul des frustrations diminue le seuil de tolérance à la frustration.
Il existe un effet cathartique : expression de la frustration.
Il existe un effet inhibiteur : perception de la punition.
Sans effet cathartique ou inhibiteur, c’est la source de la frustration qui est la cible de l’agression.
Si les effets inhibiteurs sont puissants, alors l’agression prend des formes indirectes : le rêve.
L’agression se dirige vers des cibles différentes (création de boucs émissaires)
La frustration engendre un comportement agressif si celui-ci a des chances de réussir.
Si le désir est contré par une attitude pacifiste alors il n’existe que peu d’actes agressifs.
Les insultes et les menaces provoquent plus d’agression qu’une simple interférence.
Donc se pose la question de l’évaluation de la frustration donc du seuil de tolérance.
Les travaux de Berkowitz (1962) :
Le lien entre frustration et agression ne s’observe que sous certaines conditions
La frustration doit susciter une réaction émotionnelle de colère.
La colère comme état motivationnel sensibilise à certains indices de l’environnement : * Les cibles ( catégories sociales / ethniques) * Les situations (restaurant ou Eglise) * Les objets (présence d’armes ou non)
Motivations : Intrinsèque (lié au plaisir de la tâche) Extrinsèque (dépend d’un facteur externe)
Schéma de berkowitzAttribution causale
Identification des sentiments
Maitrise des sentiments et du comportement
Interprétation cognitive de la situation
Combat agression
Fuite Evitement
Peur
Peur
Evénement déplaisant
Processus cognitifs complexe
Tendance comportementale primitive
Sentiment primitif :
Comportement
Attributions causales : comment expliquer une performance obtenues (par ex) * QQ chose d’extérieur * QQ chose lié à soit
L’hypothèse du traitement de l’information sociale