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Depuis 24 ans, Pamela Post, une victime d’un trouble de panique appelée « agoraphobie », a peur de sortir de chez elle. Elle a réussi à trouver du travail, dans une entreprise partiellement détenue par un homme qui lui aussi a un trouble de panique.
Il lui donna un bureau privé dans une maison, pour qu’elle se sente comme à la maison et qu’elle se protège de l’agitation de bureau qui pourrait déclencher des crises.
Mais après 3 ans et demi dans le travail, malgré tous ces aménagements n’étaient plus suffisants.
« Tout d’un coup les crises de paniques se sont emballées », a dit madame Post. « Je ne conduis pas, donc je ne pouvais pas savoir ce que je voulais faire ». Après un an sans travail, elle croisa Willow, une entreprise de sous-traitance qui commencé un programme de formation des travailleurs à domicile de répondre aux appels des entreprises. Aujourd’hui, elle travaille de la maison à Deltona en Floride, avec ses propres heures de travail et subvient à ses propres moyens. Par ailleurs, les crises de paniques se sont calmées.
De tels arrangements ont apporté du travail à des milliers de personnes avec un handicap. Les ordinateurs rapides et les connexions haut débit sont devenus moins chers et fiables alors que la localisation est plus longue comme pour une question d’emplois comme le service après-vente.
Au même moment, l’abondance de la technologie est disponible pour aider les personnes handicapées à utiliser les ordinateurs, comme les logiciels qui permettent au personnes non voyantes d’utiliser un clavier plutôt qu’une souris pour naviguer sur un programme, et les synthétiseurs de paroles qui convertissent des textes en fichiers audio. La firme de recherche IDC a dit que 112 000 agents à domicile étaient handicapés et ne travaillaient pas pour des entreprises de sous-traitances comme Willow.
Ces travaux sont relativement bien payés, de 10 dollars jusqu’à 20 dollars à l’heure. Les salaires sont plus élevés que ce que