Cette œuvre de Guy de Maupassant, intitulé « La Parure » présente des caractéristiques de fait réel. D’abord, l’auteur nous fait savoir que les personnages font bien parti de l’univers réaliste, dès le premier paragraphe avec l’expression : « Un petit commis du ministère de l’instruction publique. » (Ligne 3), qui met en valeur le milieu social dans lequel la personne se trouve : son travail ; et l’on sait ainsi qu’il est seulement un simple salarié. Maupassant nous informe aussi, à la ligne une : « Dans une famille d’employées. » que la jeune femme ne descend pas d’une famille bourgeoise. Cela permet alors au lecteur d’émettre ‘hypothèse de la pauvreté de ce couple. Toutefois, cette supposition se révèlera vraie avec les expressions : « Elle souffrait de la pauvreté. » (Ligne 7), « Elle n’avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. » (Ligne 20), « Tu comprends que ça n’était pas aisé pour nous qui n’avions rien » (Lignes 7 et 8 en partant de la fin) qui forment son champ lexical. De plus, l’écrivain utilise également un des éléments majeurs de la dégradation du corps tel que la vieillesse. En effet, il nous met au courant, vers la fin de l’histoire que l’une des personnes : la femme, Mme. Loisel a beaucoup vieilli en l’espace de peu de temps. L’expression : « Mme. Loisel semblait vieille, maintenant » nous le confirme, ainsi que le champ lexical du travail ménagé avec les expressions : « ménages pauvres », « lavait à grande eau les planchers » et « elle lava la vaisselle » qui nous montre qu’elle travaillait énormément chez elle. Elle n’avait pas de bureau. Pour conclure, on peut dire que « La Parure » de Maupassant est une œuvre réaliste parce qu’elle est composée de plusieurs éléments qui constituent le registre