Analyse linéaire des grands de la bruyere
A la ligne 2, « une jalousie stérile ou une haine impuissante », on observe une personnification de la jalousie et de la haine. Le moraliste décrit donc ces deux personnes comme stérile et impuissantes. Aux lignes 5 et 6 « Que faire contre une maladie de l’âme si invétérée et si contagieuse ? », on a une question rhétorique, qui montre que le moraliste cherche l’avis du lecteur et veut l’impliquer.II/ Proposition d’un remède moralePour remédier à cette maladie contagieuse qu’est la jalousie, le moraliste va proposer un remède …afficher plus de contenu…
Et dans la seconde partie de cette phrase, un paradoxe est utilisé : « nous sommes égaux, si ce n’est peut-être qu’il n'est pas tranquille, et que je le suis », il y a donc une opposition, les Grands ne sont pas tranquilles à l’idée d’être égaux aux autres a contrario du moraliste qui lui l’est.ConclusionNous venons donc de voir le constat d’une jalousie qui rend heureux, la proposition d’un remède morale et en fin la guérison. Comment le moraliste est-t-il a la fois le malade et le thérapeute