Analyse osisco
Depuis 1997 la ville de Malartic au Québec vit une décroissance et une stagnation économique suite a l'arrêt des activités du secteur minier dans la région. En 2003, le prix du once d'or dépasse le 1000$, la compagnie Osisco acquiert le site de McWatters dans le but d'exploiter le gisement. Tout de même un problèmes de taille entrave la nouvelle exploitation a ciel ouvert vu que tout un cartier résidentiel se trouve au dessous du gisement.
La seule solution viable est celle de l'expropriation et la relocalisation des 200 habitants et la reconstruction de tout les édifices public. Souciant de l'importance de la responsabilité sociale et environnementale pour un tel projet, la direction de Osisco a prix la décision de tenir compte des préoccupations de ses parties prenantes et de se positionner comme une entreprise minière responsable qui place les principes de la durabilité comme un atout majeur pour le projet de Malartic.
Les parties prenantes dans ce projet, sont la municipalité en premier lieu, favorable a la réalisation du projet et ainsi la reprise des activités économiques dans la ville. Et dans un deuxième lieu, les citoyens touchés par la relocalisation. Les trois parties on formés par la suite un groupe de gestion de la relocalisation, c'est le groupe de consultation de la communauté GCC composé de cinq résidents, deux élus de la ville et deux représentants de Osisco.
Par soucis de transparence et pour garantir le respect des engagements de Osisco, les citoyens on par la suite formés la comite de vigilance de Malartic, ce qui a amené a rendre publique la consultation des activités de lGCC. Les citoyens ont pu avoir accès a toute la transparence et on vus leurs exigences réalisés, Osisco a également mit le paquet pour la construction du nouveau cartier et l'aménagement environnemental.
En février 2007, suite a des élections dans le cartier a relocaliser, le Comité de vigilance collabore à la