Analyse du slam "j'viens de là" de grand corps malade
Piste pour construire une présentation de Je viens de là
Développement Pour construire le développement, vous pouvez vous appuyez sur les axes d’étude suivants
* Un texte entre de la poésie engagée et de la poésie lyrique
- Grand Corps Malade utilise continuellement « je ». (il va donc parler de quelque chose qui lui est personnel qui le touche vraiment lui-même. - Le « je », c'est-à-dire l’auteur est au centre comme cela peut l’être dans des textes ou des poésies lyrique, où celui qui parle se met en question, s’exprime à propos de son état d’esprit ou de ses pensées, parle de ce qu’il ressent. (((On peut citer des poèmes comme Le Spleen de Baudelaire (où il parle de sa mélancolie), Demain dès l’aube de Victor Hugo, Le Lac de Lamartine. - On remarque aussi l’utilisation de déterminant possessif comme « mes », « mon » - D’un autre côté, on remarque les expressions « Comme-tu veux », « Tiens-toi bien » et le pronom de deuxième personne du singulier qui revient (Cela veut dire que Grand Corps Malade s’adresse à quelqu’un. Il veut faire passer un message qui lui tient à cœur, attirer l’attention sur un sujet précis. (Ce sujet c’est la Banlieue et la manière dont on la voit généralement. (En France, la Banlieue est considérée comme un endroit sensible (((On peut citer des poèmes engagés comme Souvenir de la nuit du 4 de Victor Hugo, où il dénonce la mort d’un enfant suite à un massacre en critiquant la manière de procéder de Napoléon, Le dormeur du val, d’Arthur Rimbaud qui montre un soldat endormi qui a l’air heureux alors qu’il est en réalité étendu mort dans l’herbe et qui dénonce l’atrocité de la guerre. - Grand Corps Malade utilise en tout cas un langage particulier avec un des contractions comme « J’viens de là », « J’ressens », « petit à p’tit », « j’kiffe » (le niveau de langue est relâché mais pas trop