Analyse de l’essai > de claire martin.
Une œuvre autobiographique dans laquelle on dénombre plusieurs répétitions et antithèses servant à souligner l’importance des énoncés et sujets abordés. Ainsi que des phrases célèbres pour appuyer ses dires.
1 : Cette autobiographie parle de l’enfance et des conditions de vie dans les années 1900 en prêchant par les exemples tirés de la vie de l’auteur, Claire Martin. Cette femme reçu une éducation religieuse depuis son tout jeune âge et est reconnue comme une femme de lettre québécoise. Elle se maria à un chimiste et vécu à Ottawa plus de 25 ans, puis, après un séjour en France, ils sont revenus au Québec, là où elle composa ses plus belles œuvres. Claire Martin continue d’écrire encore aujourd’hui. À ses 94 ans, elle publie‘’le feu purificateur’’, œuvre dans laquelle elle nous démontre à nouveau son style bien personnel.
2 : Contexte : Paru en 1965, ce texte reflète vaguement où sous-entends l’évolution du rôle féminin dans la société Québécoise rurale, tout en dressant un portrait de l’éducation familiale inculquée aux enfants.
3 : Contenue : Il s’agit d’un extrait d’un texte dans lequel l’auteur nous dresse un portrait de ce que fut sa vie, surtout son enfance, et des rôles qu’on joué ses parents, son bourreau surtout. De plus, elle aborde le lourd sujet de la véritable signification du pardon.
4 : Titre : Il s’agit d’une analogie faisant référence à la maxime ‘’ une main de fer dans un gant de velours’’. Ce titre convient parfaitement au contenu total du texte, car c’est une version adaptée de la maxime pour parfaitement expliquer la vie de l’auteur. Dans son œuvre, elle parle d’une main de fer dans un gant de fer et fait référence au dicton ‘’qui aime bien châtie bien’’. On remarque qu’elle use de nombreux dictons et phrases connues afin de bien illustrer ses propos.
Son intérêt en 2010 :
Le sujet principal du texte, à savoir, faire la lumière sur la dureté des réalités familiales ainsi que des