Analyse de l'Enfant noir
6 Octobre 2015
Français 365
Compo 1
Les Subtilités : Une Analyse des Critiques de L’Enfant noir
Écrit par le professeur américain Jarrod Hayes, l’article « Idyllic Masculinity and National Allegory: Unbecoming Men and Anticolonial Resistance in Camara Laye’s L’Enfant noir » est focalisé sur l’importance de la masculinité africaine, sur les subtilités de colonialisme dans l’allégorie nationale de Guinée, et sur comment les deux forces se mélangent l’un à l’autre pour faire la nouvelle idée d’aliénation culturelle. Dans l’article, Hayes cite beaucoup de critiques (comme Mongo Beti) de L’Enfant noir qui soutiennent la notion que l’œuvre est trop idyllique pour un roman qui se déroule dans l’époque du colonialisme d’Afrique sub-saharienne. Hayes argue que ce n’est pas nécessairement le cas, et que L’Enfant noir souligne le lien entre le colonialisme et l’idée malinkée de masculinité, et donc l’aliénation personnelle et culturelle qui les suivent. Il aligne toutes ces facettes pour faire la conclusion finale que L’Enfant noir n’est pas aussi idyllique que décrit par ses anciens critiques, et est en fait une allégorie à point de vue d’un enfant pour mieux comprendre tous ce qui s’est passé pendant le colonialisme d’Afrique et donc l’aliénation de n’être ni français, ni même africain.
Cette analyse de L’Enfant noir fait vraiment plus clair le rôle de la virilité et la masculinité dans la culture malinkée et comment un garçon malinké n’est pas né un homme, mais plutôt qu’il devient un homme. Il explique comment la circoncision, les rituelles malinkées, et le savoir paternelle et secret de métier sont tous des components d’être un vrai homme en Guinée. Sans même un de ces ingrédients, un garçon ne peut vraiment devenir un homme, et donc, selon les termes de masculinité malinkée, il ne peut pas être véritablement malinké. Donc quand Laye décide qu’il veut aller à l’école française, son père est rempli de mélancolie. Hayes dit, « In spite of