M. Chartrand Catherine Pauzé-Brodeur
18.10.12 553
Analyse de l’Étranger
Dans la société, il y a toujours des gens se démarquent en étant différents. Ces personnes vivent en marge de la société organisée à défaut de pouvoir s’y intégrer ou par refus de se soumettre à ses normes. C’est ce qu’on appelle la marginalité. Dans l’Étranger, on peut identifier Meursault comme étant marginal. Dans plusieurs parties du roman, on peut reconnaître le comportement de Meursault comme de la marginalité. On pourrait même dire qu’il est étranger à la société qui l’entoure. La question qu’on se pose est à travers quels thèmes pouvons nous associer le comportement de Meursault avec le titre de l’œuvre : L’étranger. On peut reconnaitre les thèmes de l’absurdité et de la justice des hommes.
En premier lieu, le thème relié à la première partie du livre qui peut faire un lien considérable avec le titre de l’œuvre de Camus est l’absurdité. Dans cette partie plusieurs événements sont rattachés à ce thème. On peut définir l’absurde comme étant contraire et échappant à toute logique ou qui ne respecte pas les règles de la logique. Meursault est un homme qui aime la vie et qui ne s’arrête pas aux petits problèmes de la vie. Il vit au jour le jour, seul le maintenant compte. Ce qui est contraire aux normes et aux pensées de la société. Voici pourquoi on peut traduire l’absurdité dans les gestes et les paroles de Meursault. Par exemple, quand sa mère meurt, il ne veut pas voir sa mère et il ne pleure pas. Le concierge le regarde d’une drôle de manière. Parce que normalement une personne aurait demandé à voir sa mère une dernière fois. On revient alors à la définition même de l’absurde qui dit que c’est ce qui échappe à toute logique. La même chose se produit quand Marie lui demande de