Mouvements littéraires :

Humanisme : Homme au centre des préoccupations, moitié du XVème. Pensé idéaliste.

Classicisme : XVIIème (1660) Reprend les caractéristiques de l’art de la Grèce et Romain, la raison, l’équilibre, l’objectivité, la retenue, et le respect de la forme. Classicisme, Romantisme.

Le rationalisme des lumières : XVIIIème. Essaie de propager le savoir a tous philosophie des lumières s’appuis sur les découvertes scientifiques pour développer l’esprit critique et lutter contre les préjugés. Remise en cause du pouvoir royal, principes de démocratie, égalité pour tous prennent de l’importance (voltaire).

Romantisme : 1ère moitié de XIXème siècle, ouvre à la subjectivité au lyrisme à l’imagination et l’exaltation des passions. Revendication des poètes du « je » et du « moi » qui veulent faire connaître leurs expérience personnelles. Idéal ou cauchemar d’1 sensibilité passionnée et mélancolique, esthétiques et morales (hugo, Musset, Vigny, Sand)

Le réalisme et le naturalisme : peindre la réalité, faits réels, sentiments vrais, semblables. Puis naturalisme, faits sociaux (ouvriers) puis sciences de l’homme et de la nature (Zola) (XIXème siècle)

Le symbolisme : subjectivité de la connaissance, suggérer plutôt que nommer, décrire ou raconter, mythologie légende, bible, poésie, utilisé avec des vers impairs et de la musicalité (rêve, fantastique… ) (Rimbaud, Verlaine).

Le suréalisme : puissance du rêve, de l’instinct,, du désir, contre l’ordre logique ou morale, libérer des exigences de la raison.

L’existentialisme : A partir de 1938, Prend pour point de départ l’existence de l’individu, l’homme est seul et doit forger ces propres valeurs. Confronté au sentiments de l’absurde en prenant conscience de sa solitude de mort.

Registres :
Registre lyrique : Vocabulaire de l’émotion, amour, nostalgie, bonheur, extase, nature. Pronom « je », Tournure exclamatives, invocation, apostrophe, insistances, anaphores, hyperboles.