Analyse de père goriot
Le roman « Le Père Goriot » de Honoré de Balzac a été publié en 1835 est une oeuvre réaliste qui décrire les classes sociales, l’obsède de l’argent et l’éducation. La thème principal est l’amour paternel de père Goriot pour ses deux filles Anastasie et Délphine. Cet amour maladif qui va détruire le père à la fin
Père Goriot a fait son fortune pendant la révolution vendant des pâtes. il a perdu sa femme très tôt et élévé ses deux filles lui-même. Il les a gâté sans cesse : « Riche de plus de soixante mille livres de rente, et ne dépendant pas douze cent francs pour lui, le bonheur de Goriot était de satisfaire les fantasies de ses filles »[1] Il refuse de leur juger et il leur porte une affection maladif sans mesure. Goriot a mis toujours les besoins de ses filles au premier lieu, il a même renoncé à son propre bien-être. Lorsque ses deux filles habitent dans les qurtiers riches de Paris Père Goriot habite dans une pensionat puante dans la pire chambre. Pour elles c’est juste les fonds de Père Goriot qui compte. Il est presqe comme il est amoreux de ses filles : « Je les attends au passage, le coeur me bat quand les voitures arrivent, je les admire dans leur toilette [...] J’aime les chevaux qui les traînent, et je voudrais être le petit chien qu’elles ont sur leurs genoux. Je vis de leurs plaisirs ».[2] Père Goriot aime beaucoup mais il aime ses filles trop. Il les gène avec son amour à l’excès qui peut être l’origine du rejet par les filles d’un père trop encombrant : « Il se couchait aux pieds de sa fille pour les baiser ; il la regardait longtemps dans les yeux ; il frottait sa tête contre sa robe ; enfin il faisait des folies comme en aurait fait l’amant le plus jeune et le plus tendre »[3] Il est une victime de son amour quand il voit ses filles tout l’intelligence et volonté disparaîtent il veut seulement voir ses filles heureuses il même vole s’il le faut. Mais c’est un cercle vicieux de plus il les gâte et les