Lors de mon stage en médecine à orientation diabétologie et addictologie, j’ai été amené à effectuer à une patiente un prélèvement sanguin de type INR pour le suivi du taux de coagulation sanguine car elle est sous anti coagulant du fait de son alitement prolongé.
Cette patiente est âgée de 69ans admise des suites d’un accident vasculaire cérébral hémorragique massif.
Ce soin est en lien avec la compétence 4 « mettre en œuvre des actions à visées diagnostic et thérapeutique » et le C6 « communiquer et conduire une relation dans un contexte de soin »

Ce matin-là, J’étais encadré par l’infirmier en poste dans le service. Je devais pratiquer une prise de sang de contrôle chez Mme A. selon la prescription médicale établie par le médecin, afin d’adapter ses traitements, et de suivre l’évolution de sa pathologie,
Mme A. des suites de son AVC présente une inconscience partielle, elle est non communicante.
La difficulté était d’adapter mes gestes (toucher-présence) et ma communication en lien avec son état de sommeil comateux. Il n’y avait pas de contrainte spécifique lié à la pathologie pour effectuer la prise de sang.

Avant le prélèvement j’ai veillé à lui expliquer ce que j’allais faire afin de la prévenir.
En ayant adapté mon environnement, la prise de sang s’est bien déroulée, grâce à mes gestes d’asepsie en lien avec la technique de détersion de la peau à l’aide d’un désinfectant en utilisant également la solution hydro alcoolique pour ma désinfection des mains pour réduire le risque de transmissions croisées de germes infectieux.
J’ai pris en compte également le critère de sécurité en limitant le risque d’accident d’exposition au sang j’ai évacué mon aiguille dans le container objet tranchant et coupant et porté des gants à usage unique pour le prélèvement.
J’ai veillé à la procédure d’hémovigilance en vérifiant l’identité de la personne et la conformité des étiquettes d’identité. J’ai également effectué une traçabilité écrite sur