Analyse Agaguk 15 D C
Travail de français présenté à
Mme Filion
Par
Marilou Lalumière foyer 302
École Louis-Riel
Le 15 décembre 2014
Yves Theriault est un auteur québécois très connu qui a écrit beaucoup de romans dont «Agaguk» un récit original qui se déroule dans une tribu Inuit au début 18e siècle. L’injustice est présente dans la tribu d’Agaguk. Mais, pourquoi l’injustice s’installe-t-elle dans la tribu d’Agaguk? Plusieurs situations du roman Agaguk nous permettent de percevoir l’injustice dans la tribu d’Agaguk. Notamment l’injustice que les hommes ont envers les femmes de leur tribu ainsi que l’injustice que les blancs démontrent envers les Inuits.
Tout d’abord, Agaguk, au début du récit, est un excellent exemple d’injustice envers les femmes car il traite la sienne, Iriook, avec violence et autorité sans qu’elle n’ait un mot à dire. Comme le démontre l’extrait suivant, Iriook ne peut que se laisser faire face aux agissements injustes de son mari.
«Il la battit de ses pieds et de ses poings, à coups furieux, jusqu’à ce qu’elle tombât inanimée. […] Quand elle ouvrit les yeux, qu’elle bougea en geignant, il la posséda brutalement»1
Comme on peut l’observer, Iriook n’est pas traitée comme une femme devrait être traitée par son homme. Surtout qu’elle n’a pas le droit de le traité aussi de cette manière. Bref, les femmes dans les trius Inuits d’autrefois étaient traitées avec beaucoup d’injustice.
Ensuite, les commerçants blancs de fourrures sont un bon exemple d’injustice envers les Inuits car ils essaient de les contrôler et d’être supérieur à eux de manière à en tirer profit au dépend des Inuits. L’extrait suivant démontre très bien de quelle manière les blancs peuvent s’y prendre de manière très injuste face aux Inuits.
«Ce n’est pas d’hier que McTavish jouait le jeu. Il en avait l’habitude. Agaguk ne sachant pas compter il ne pouvait deviner que, même au prix arbitraire accordé pour les fourrures, l’Écossais avait encore diminué la valeur