Allo
1) L'auteur indique que la correction doit jamais se faire par la victime à cause du rôle inalienable que joue l'émotion dans le jugement personnel. Il précise que "la réparation peut être l'oeuvre que d'un tiers" (l4-5) car la justice ne peut seulement se faire d'un point de vue objectif, "qui ne fasse valoir et n'effectue que de l'universel" (l5-6), ceci est donc une sanction négative ou "punition".
George dévoile l'inégalité entre la puntion et la vengeance oau lecteur de maniere explicite : "La vengeance [...]est une réparation obtenu par un acte de la partie lésée, tandis que l'autre [la punition] est l'oeuvre d'un juge" (l8-9). Encore une fois, l'auteur met en relief le rôle dominant que la passion joue dans la vengeance, et que "le droit se trouve ainsi troublé" (l11). Il continue cette différenciation en indiquant que la vengeance est fondée par "le sentiment" ou "un mobile subjectif" (l13-14). En contrepartie, la punition "[...]a[...]la forme du droit" car elle est effectuée par le biais d'un tiers.
George pose une finalité sur le cercle vicieux mis en rotation par le "droit suscite impitoyablement à l'infini, de nouvelles vengeances" (l17).
2) Le "tiers" (l5) exprime le juge, il doit être le seul capable d'actes de réparation: "la réparation ne peut être l'oeuvre que d'un tiers" (l4-5). Ses actes de réparation sont des punitions établies par son verdicte.
3) Vengeance Justice
Subjectif Objectif
Victime juge
Passion, émotion, sentiment universel individuel droit fortuit punnisable arbitraire contagieux et provocatif