Présentation de l'œuvre « ALCOOL » |

Repère géographique:

De son vrai nom Guillaumus Apollinarus, né a Rome le 26/08/1880 et mort d'une grippe espagnole le 09/11/1918. De mère polonaise, précurseur du surréalisme, homme très cultivé (Bible, Antiquité). Il a eût trois femmes: Annie Laydenne; Marie Laurrencin; Madelaine Pagès. Il commence par être journaliste et critique d'art. Il écrit deux autres recueils Poèmes a Lou et Calligrammes. Citation « Chacun de mes poèmes est la commémoration d'un évènement de ma vie. Genèse et titre de l'œuvre:

Dès 1905, A veut crée un recueil à dominante mélancolique avec des poèmes venu d'Allemagne, une fois arriver à Paris, les poèmes sont publiés, éparpillés dans des magasines parisiens. C'est 1912 que le projet prend forme, il s'agit d'un recueil contenant ses poèmes ces écrits. A l'époque il compte appelé ce recueil « eau de vie », qui est un alcool qui procure l'ivresse c-à-d que l'eau s'écoule comme la vie et la vie dépend de l'eau. Il rajoute un poèmes « zone ». Il supprime toutes les ponctuations dans ses poèmes : « Pour ce qui est de la ponctuations, je ne l'ai supprimé parce qu'elle m'a parût inutile et elle l'es »; « Le rythme même est la coupe des vers voilà la vrai ponctuation ». Le fait qu'il est placé « zone » au début du recueil est très significatif car avant il a mis « la chanson du mal-aimé » qui débutait le recueil. A l'origine le recueil commence par un poème au registre et tonalité élégiaque (élégie= plainte). « Zone » est une méditation du poète de sa vie passé, ses peines amoureux de l'homme moderne.
Alcool au sens d'ivresse fourni par la transfiguration poétique (besoin de crée poétiquement), chaque texte est l'un de ses alcools, chaque poèmes est une naissance.
Essence qui brûle, qui s'évanouit aussi que la vie et fait donc référence aux différents échecs.

Structure de l'œuvre:

Aucun ordre chronologique. C'est une œuvre qui est reçut sceptique au niveau des critiques