Il est temps de ramener au devant de la scène ce qui a été oublié. Ce billet sera consacré à expliquer ce qu'est réellement Devil May Cry à mes yeux, mais surtout, comprendre pourquoi la popularité de la série à flanché petit à petit, jusqu’à devenir une parodie d'elle même. Parodie, qui deviendra la force de Bayonetta. Symbole d'un homme ayant tout compris dans le genre Beat em all, Hideki Kamiya. Un Dante qu'aujourd'hui les plus jeunes (et même quelques vieux) d'entre nous, ne retiennent qu'une seul chose, qu'il s'agit « d'un homme qui vanne des monstres. » Ces même personnes qui ont oublié pourquoi il y a tant de remue-ménage envers le Dante du prochain DmC. Mais ce n'est pas tout. Durant ce billet, je vais parler de quelques lieux cultes parmi tout ce qui m'ont été donné de voir dans les Beat em all les plus actuels, de l'ère PS2 à nos jours. Alors bien entendu, cela ne va pas réunir des tonnes de jeux, même si on à été plutôt gâté dans le genre depuis la PS2, mais je vais m'en tenir aux plus connus, je veux parler de Devil May Cry, Bayonetta, Ninja Gaiden, God of war, Onimusha, No more Heroes, Caslevania Lords of Shadow voir même Shadow of the Damned, que j’inclurai aisément dedans vous verrez pourquoi. Il s'agira en gros des plus gros BTA qui ont marqué l'ère de la 3D.
DEVIL MAY CRY
Venons en tout de suite au fait. Tout le monde, normalement, sait pourquoi cette série est devenu une œuvre mythique aujourd’hui hui dans l'univers du jeux vidéo. Proposant un Gameplay riche, spectaculaire et vraiment révolutionnaire pour l'époque (le gameplay de DMC 1 dépassait encore de nombreux Beat em all sortis des années après lui), il a su créer une icône aujourd'hui connue dans le monde entier, voir idolâtré, Dante. La presse de l'époque n'hésitait pas à se lâcher pour faire comprendre le caractère exceptionnel d'un personnage qui allait marquer de son emprunte le média. Le magazine Joypad n'y allait pas de main morte comme il l'est cité dans l'un des textes