Adieu
Car certes, ton pouls bats encore et encore, mais tes yeux sont toujours fermé, ton cerveau toujours déconnecté de la réalité et ta bouche reste scellée. Comment sommes nous sensé te faire nos adieux si tu n'est pas partie ou te souhaiter la bienvenue si tu n'est pas revenus?
Rester a l’hôpital a te regarder, la bouche molle, les bras le long du corps, me fait petit a petit oublier le Jean que tu étais avant. Même en dormant, tu trouvais le moyen d'afficher tes sentiments. Un sourire heureux lorsque tu t'endormait a coté de moi, que la journée fut belle ou mauvaise, tu souriait.
La ton visage est neutre et j'ai envie d'y dessiner un sourire.
Il y a eu, évidemment des centaines de personnes a ton chevet, certaines m'ont salué, d'autre ont du croire que j’étais une table de chevet, ils m'ont a peine remarqué.
Mais aujourd'hui je ne suis toujours pas retourner te voir. Et ce depuis 2 semaine.
Je ne supporter pas ces hypocrite pleureuse que faisait tes sœurs, ni ces regards désespéré des médecins sur les résultat de tes test sanguins.
C'en étais tellement affligeant que j'y ai renoncé.
Je passe mes heures sans cours a m'embrouiller dans mes notes, sentiments, penser. J'ai effectivement trouvé un moyen de séparer mes pensé. Parler au autres, penser a toi.
D’après les prêtres, médecins, psychologues, tu m’écoute. La tout de suite, lorsque je m'adresse a toi en pensé, tu m’écoute. J'aurai aimer avoir ce pouvoir lorsque tu étais « vivant