601 103 MQ Dev1C LEPA14589401
Point de vue : Non. Malgré que les deux extraits traitent du Français comme étant un être supérieur, ceux-ci diffèrent tend à la manière d’approche que les Français ont à l’égard du sauvage.
Argument principal 1
À première vue, le Français est représenté d’une façon similaire, puisqu’il est lié dans les deux extraits à la supériorité qu’il a sur le Sauvage.
Sous-argument 1.1
Sous-argument 1.2
Dans Voyages en Nouvelle-France, la ruse utilisée par le Français est associée à l’expression de la supériorité.
Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, le Français est fier de son pays et le démontre nettement.
Illustration 1.1
Illustration 1.2
« nous lui [montrèrent] une hache. Feignant de la lui bailler pour sa peau […] Et l’un de nos gens, étant dans notre bateau, mit la main sur sa dite barque, et incontinent il en entra deux ou trois dans leur barque et on les fit entrer dans notre navire, de quoi ils furent bien étonnés ». (ligne 15-17)
« N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et un million de gens d’autres états qui vivent comme des rois, à qui rien ne manque et qui ne se souviennent d’avoir vécu que quand il faut mourir »? (ligne 23-25)
Explication 1.1
Explication 1.2
Le troc était une activité fréquemment utilisée à ce moment et le Français se sert de cette tactique afin d’attirer vers lui le Sauvage. Le verbe « feindre » démontre bien la ruse qu’il utilise à l’égard du Sauvage et met de l’avant la domination qu’il a sur celui-ci.
L’énumération des nombreux statuts de France met en évidence la fierté qu’il a envers son pays. De cette façon, il met l’emphase sur la vie parfaite des Français contrairement à celle des Hurons. L’utilisation du « n’as-tu pas vu » rend le ton de la phrase hostile, on perçoit la supériorité qu’il manifeste à l’égard du sauvage d’Amérique.
Argument principal 2
Si l’on approfondit l’analyse, il ressort que Cartier