Régionalisation ou libre échanges
1940 : Vichy interdit le syndicalisme, CFTC et CGT sont dissoutes par la Loi du 16 août.
De nombreux syndicalistes entrent dans les réseaux de résistance.
Des actions sont menées conjointement par la CGT et la CFTC.
1944 : création de la CGC – Confédération Générale des Cadres.
Institution des Comités d’entreprise et de la Sécurité Sociale
1946 : après la guerre, est posée la question du cumul des mandats politiques et syndicaux. Le non-cumul est adopté en février.
1947 : les tensions de la guerre froide entre l’Est et L’Ouest rejaillissent dans les débats internes aux syndicats. Naissance de la CGT- FO qui s’oriente vers le paritarisme et le réformisme. La CGT reste dominée par les éléments communistes.
1964 : la CFTC se scinde en deux : CFTC et CFDT – Confédération Française Démocratique du Travail. Evolution vers un syndicalisme laïc.
La CFTC se maintient avec une référence confessionnelle.
Mai 1968 : les syndicats appellent à une action sur les lieux de travail.
Pour la première fois, le syndicalisme agit en entreprise. Accords de Grenelle - augmentation de 35% du salaire minimum, reconnaissance de la section syndicale à l'entreprise…
1970 : l’autogestion est présentée comme une alternative au capitalisme.
Participation des salariés à la gestion de l’entreprise ; ils deviennent présents dans différentes instances.
1981 : arrivée au pouvoir de la gauche, considérée comme la possibilité d’un renouveau pour le syndicalisme.
1982 : ordonnances réduisant la durée du travail à 39 heures et instituant la cinquième semaine de congés payés.
1984 : retraite à 60 ans
1988 : début du syndicalisme d’adhérents. Volonté d’augmenter le nombre d’adhérents et d’être implanté sur les lieux de travail afin d’exercer une action plus revendicative.
1998 et 2000 : Lois Aubry qui fixent la durée légale du travail à 35 heures de travail effectif hebdomadaire.
Accords internationaux
Les