Réflexion autochtone
Réflexion sur la nature et les conséquences de la pauvreté dans une communauté autochtone
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Par : xxxx
06 septembre 2005
Ma réflexion portera sur une communauté autochtone du Québec. Dans un premier temps je vais expliquer pourquoi selon moi la pauvreté si est installé, et ses conséquences actuelles. Pour cela je vais me servir des trois principales différentes natures de la pauvreté soit : la pauvreté culturelle, sociale et économique.
Premièrement, dans les anciennes communautés autochtones, les gens vivaient entre eux et étaient très solidaires les uns des autres. Le savoir des ancêtres se transmettait de générations en générations. Apprendre cette culture et ce mode de vie à ses enfants était très important et ils en étaient fiers. Quand les blancs sont arrivés, ils ont tenté de défaire la religion en laquelle ces peuples croyaient tout en volant leurs terres et en les obligeant à adopter une culture qui était l’inverse de toutes les valeurs auxquels ils croyaient. Plus tard, quand les blancs ont vu qu’ils avaient peut-être été trop loin avec les autochtones, ils ont donné des terres sous le nom de réserves où ils pourraient vivre avec leur communauté. Seulement, ce peuple s’est toujours senti dominé par les blancs et ils s’en sont sentis frustré. Dans leur communauté, les étrangers blancs ont rarement une place. Ils ont crée un lien de solidarité très fort entre eux et ils n’acceptent pas les nouveaux individus ce qui les fait voir encore plus en marge de la société blanche. Ça devient une pauvreté culturelle, car il n’y a pas de valorisation sociale.
Deuxièmement, les autochtones sont traités un peu comme des citoyens de seconde classe, on leur donne leur chèque mais c’est une façon de les traiter comme si ils étaient incapables de travailler, comme si on voulait les éloigner du mode de vie occidental. Alors, quand une communauté se sent dévalorisé socialement, et qu’en plus elle n’a presque plus d’identité culturelle, il y a