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À partir des années 1970, avec la montée en puissance des pensées de Milton Friedman et de Friedrich Hayek le mot néo-libéralisme prend un autre sens. À partir de Michel Foucault, le néolibéralisme est alors présenté comme une technique de gouvernement, une politique économique et sociale étendant l'emprise des mécanismes du marché à l'ensemble de la vie. Friedman et Hayek sont désignés en France comme en étant en grande partie les inspirateurs bien qu'ils ne se soient jamais revendiqués du néolibéralisme, mais seulement du libéralisme. Au contraire de la signification précédente, leur libéralisme est anti-keynésien, et limite voire supprime l'intervention étatique. Le contexte économique marqué par la fin du système de Bretton Woods relance les discussions entre écoles économiques et leur intensité a contribué à populariser ce terme.Dans le débat contemporain (depuis les années 1970), le terme « néo-libéral » est couramment utilisé par les courants critiques du libéralisme pour qualifier leurs adversaires. Il revêt généralement une connotation péjorative : les analystes désignés par ce terme refusent le plus souvent de s'y reconnaître.
Mouvements politique
Le 29 avril 1970, le Parti québécois participe à ses premières élections. Même s'il obtient près du quart des suffrages exprimés, le parti de René Lévesque ne parvient à faire élire que 7 députés sur 108 candidats. L'Union nationale et le Ralliement créditiste se classent devant le PQ en nombre de sièges, même si le pourcentage des votes est plus faible. Le Parti québécois se trouve donc fortement désavantagé par le mode de scrutin et la carte électorale.René Lévesque est battu dans sa circonscription montréalaise de Laurier. Dans son discours au centre Paul-Sauvé, il dénonce la désuétude du système électoral québécois. Découverte scientifique
La première fusée Ariane, Ariane 1, est lancée depuis le ciel du Centre spatial guyanais de Kourou. La réussite de ce lancement marque