Philosophie malebranche
Le premier raisonnement 2) Les deux exemples "deux et deux font quatre" et "il faut préférer son ami à son chien" son des exemples qui ont une certaines logiques pour l'auteur, des choses qui se vérifient empiriquement. Mais ces exemples ne font pas parties du même domaine puisque "deux et deux font quatre" est du domaine des mathématiques, de la logique objective; alors que "il faut préférer son ami à son chien" fait parti du domaine des sentiments, il n'y a pas de logique objective puisqu'on peut préférer son chien à son ami. Le deuxième exemple a une logique pour l'auteur mais il ne se vérifie pas forcément empiriquement comme le premier exemple. En mettant "deux et deux font quatre", un exemple de logique implacable et "il faut préférer son ami à son chien", un exemple qui ne se vérifie pas toujours, l'auteur donne au second exemple la même logique qu'au premier exemple. Il ne peut être autrement pour l'auteur qu'un homme préfère son ami à son chien. Il me semble que ces deux énoncés n'ont rien à faire sur le même plan puisque l'un est objectif et l'autre est subjectif et fait jouer beaucoup trop de paramètre pour qu'il ne soit que de la logique pure. Il peut être possible de préférer son chien à son ami.
3)Dans la premier prémisse le verbe "voir" est au sens de l'observation, il est objectif. L'auteur voit des évidences. Le premier voir dans la première phrase désigne le voir de l'œil et le deuxième désigne celui de la lumière. On peut alors dire que la raison vient de l'évidence. Il faut que la personne voit la chose pour qu'elle est raison. La théorie n'est dans ce cas là pas la raison puisque personne n'a jamais vu la théorie réalisé. La raison s'attache à des faits objectifs.
4)a) Ce sont des raisons qui dans le fond ne sont pas raisonnables, parce qu'elles ne sont pas conformes à la souveraine raison, ou la raison commune que tous les hommes consultent b) Ce sont les raisons qui dans le fond ne