« On ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction », Jean de la Bruyère.

La population est séparée en trois groupe lorsqu’il s’agit de lecture : le premier est celui qui ne lis pas, et qui tire ses connaissances par les ouvrages qu’on lui a forcé à lire durant sa scolarité ; le second met en avant des gens qui cherche a se cultiver et qui ne lisent que pour s’instruire avec des documentaires ; le troisième groupe est celui qui lit non pas seulement pour s’instruire, mais aussi pour se divertir, car il vous diront que lire, ou écouter quelque chose c’est de l’art et qu’il est la pour être apprécier et par seulement pour instruire. La plupart des œuvres que nous étudions au cours de notre scolarité sont des écrits ou des oraisons permettant de nous enseigner des idées, de nous inculquer des connaissances ; on peut donc se demander parfois si l’écriture et la parole ne doivent être employées que pour la transmission de notions comme l’affirme la bruyère dans la préface des caractères. Faut-il lire et écouter seulement pour apprendre des éruditions ? L’écriture et la parole ne sont ils pas des arts que l’on doit laisser librement s’exprimer ?

Les écrits les plus connues sont ceux qui enseignent le fondement de notre histoire et qui ne sont pas la pour nous divertir ou nous faire rire. Bon nombre de texte étudiés ne font que rappeler le passé des civilisations qui se transmet de générations en générations. Au premier abord, l’écriture est la pour informer et instruire les gens. Par exemple lors de cette année nous avons étudié Le colonel Chabert, de H. Balzac, qui malgré que ce soit une fiction, ne l’ai pas tant que ça car seul le nom du personnage est fictif. L’histoire en elle-même n’est qu’un écrit qui relate des faits réels de l’époque. L’auteur appartenant au mouvement réaliste met en avant avec précision, l’exactitude des faits de l’époque. D’autre part, ce mouvement étant suivit de près par le mouvement naturaliste, qui consiste à décrire avec