Monologue dona sol
Dona Sol (seul) : Non, non, non et non ! Ce n’est pas envisageable, je ne peux l’épousé, il me répugne, il est si vieux… Hernani est le seul et véritable amour de ma vie, je l’aime tant. Je suis condamnée à vivre ainsi avec mon impuissance dans le monde des sentiments. Je désire tellement aimé Don Ruy Gomez comme j’aime Hernani, tout serait beaucoup plus simple.
L’amour, amoureux, aime, adorer, passion, ces mots dits par DRG ne sont à mes yeux, que bêtises et je les déteste. Ce sentiment appelé amour est si grave, qu’il ne laisse dans la théorie que bonheur, joie et plaisir alors que dans la réalité il n’est que sombre tristesse et auteur de peine.
DRG est riche, il a un titre que j’acquerrais grâce à cette union…
Mais non ! Il n’y aura aucun mariage ! Qui m’a demandé si moi je voulais cette alliance. Personne ne se soucie de ce que je désire par-dessus tout, de mon vœu le plus cher, Hernani, oui, avoir Hernani comme amour. J’ai trahi DRG en faisant d’Hernani mon amant, et cela n’a pas joué contre moi, il me pardonne et me pardonnera quoi que je fasse. Tout ce que DRG peut me donner n’est rien à côté de mon amour pour Hernani, il est tellement beau, jeune et intelligent. Ce lourd fardeau sur mes épaules me fatigue, je n’ai pas la force d’affronté mes difficulté. Accepter d’être la femme de DRG, toujours vivre correctement, ne jamais manquer de rien si ce n’est d’amour et de mon bonheur. Alors qu’avec Hernani je suis sûre d’être heureuse jusqu’à la fin de mes jours même si je n’ai pas la certitude d’être aussi aisé, puisque Hernani reste néanmoins qu’un bannit, cependant notre amour est plus fort que tout. Aucun mots n’est assez fort pour le décrire.
Je perds espoir, comment vais-je régler cette histoire, peut être faudrait il que je parte loin d’eux et qu’ils finiraient par m’oublier. Mon chagrin, ma peine, ma détresse tout est si sinistre et sombre ainsi que ma vie qui ne vaut à présent plus rien. Je suis abattue par ma