Marseille , jules supervielle
Il utilise différents procédés pour faire une description précise de la ville qu’il qualifie comme sienne. Premièrement il fait une description globale de la ville “mer” (vers 1), "mâts" (vers 2) pour y rappeler les abords marins, “Tramways” (vers 3) pour les infrastructures et “cafés” (vers 5) pour les divertissements et “Hommes et femmes” pour les habitants. Grâce à ces descriptions, il englobe tous les aspects de la ville, en utilisant des exemples précis pour y montrer la précision donnée à cette description emplie de détails. Ensuite, il utilise le connecteur “et” de manière répétitive dans une anaphore pour y montrer le désir et exagérer son désir de tout décrire. Montrant qu’il en est impossible car même avec une répétition, il n’est pas capable de tout énoncer, montrant son désir de répandre la beauté de cette …afficher plus de contenu…
L’auteur veut montrer une ville grouillante de personnes pour la mettre en avant. Il s’appuie sur une récurrence de mots pluriels dans sa description, “hommes et femmes” (vers 5), “leurs verres, leurs tasses” (vers 6) et également de verbes de mouvements “sortie” (vers 1), “lèvent” (vers 4), pour exagérer l’animation de la ville. Il utilise également une métaphore, “lèvent le bras comme pour se partager le ciel” (vers 4) pour appuyer ses propos. Parlant des habitants tout entiers de la ville, il compare le ciel au bonheur qu’éprouvent les habitants de se retrouver, ce qui fait devenir de cette ville banale une ville pleine de vie accompagnée de joie. Malgré cela, il éprouve un sentiment d’abondance de cette animation “Reste donc un peu tranquille” (vers 16), parlant de Marseille, il éprouve un besoin de calme. Éprouver ce besoin de repos alors qu’il vante les mérites de l’animation démontre par