Florence Aubenas est une journaliste française né le 6 février 1961 à Bruxelles. Elle a été diplômée du Centre de formation des journalistes en 1984, puis elle a été journaliste pour Le Nouvel Economiste, ensuite, elle est entré à Libération en 1986. Elle s’est surtout fait connaître par sa couverture du Procès d’Outreau. En 2005, elle s’est faite enlevée en Irak et en septembre 2006, elle rejoint le Nouvel Observateur en invoquant la Clause de Conscience pour quitter Libération. A partir du 2 juillet 2009 jusqu’à juin 2012, elle est présidente de l’OIP, l’Observatoire Internationale des Prison. C’est le 18 février 2010 que Le Quai de Ouistreham a été publié.

Pour vivre l’expérience à l’origine de l’ouvrage, elle s’est installée à Caen où elle s’est inscrite comme chômeuse au Pôle Emploi pour chercher du travail, en faisant ceci elle a pu mener une enquête sur les travailleurs précaires. Elle a gardé son identité ainsi que ses papiers mais elle a fait comme si elle ne possédait que le baccalauréat. Elle s’set également inventer une vie où elle venait de se séparer d’un homme avec qui elle avait vécu une vingtaine d’année et qui subvenait à ses besoins jusque là. Cette expérience a duré de février à juillet 2009, donc presque 6 mois. Elle s’était fixée comme règle de stopper son expérience quand elle aurait obtenue un CDI.

Les 3 exemples de conséquences économique de la précarité sont:
Dans le chapitre 8 à la page 93: «Vous touchez quoi? Les allocations chômage? Non, rien. Même pas le RMI »
Dans le chapitre 11 à la page 122-123: «Amanda pense qu’il leur reste 8 euros à deux pour la semaine »
Dans le chapitre 15 à la page 165: « Je peux dire à tout le monde: les 250 euros de loyer, c’est mon salaire qui les paye »
Les 3 exemples de conséquences sociales de la précarité: Dans le chapitre 14 à la page 159: « Le mot « insertion », maintenant, on l’oublie. »
Dans le chapitre 10 à la page 111: « Victoria et Fanfan avaient créé la section des « précaires »,