es rapports de Guy avec la Bourgogne, au sens large, ne sont pas récents. Nous avons noté sa présence au plaid provençal de l’évêque Aimon de Valence et les accointances qu’il entretient avec les prélats rhodaniens
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La première chose qui justifie qu’on voit sa main à Anse, c’est que ce sont ces . amis-là qui y sont présents : les archevêques de Vienne et de Lyon, Thibaud et Bouchard, l’évêque de
Grenoble, Isarn l’irréprochable. Mais la Bourgogne, c’est aussi Cluny, et là aussi, il n’est point besoin d’insister pour prouver les liens entre Guy, l’Auvergne, et les Clunisiens ; Cluny, c’est déjà toute une société, tout un réseau de personnages qui illustrent la culture méridionale
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Même s’il n’en est . qu’un facteur, le mariage provençal d’Azalaïs a sans doute été déterminant dans l’appui que Cluny va désormais porter à l’action de Guy. L’abbé Mayeul était un ami du comte Guillaume d’Arles. À partir des années 984, l’abbaye bourguignonne regarde vers le Sud
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,C’est entre 987 et 990 que Mayeul . venant en Auvergne, remarque dans l’entourage de l’évêque du Puy le jeune chanoine Odilon de
Mercœur, et qu’il l’emmène à Cluny. En mai 994, Mayeul meurt, et c’est Odilon qui lui succède
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La Bourgogne, c’est enfin une famille ducale, et quelle famille ! les Capétiens/Robertiens. Nous venons juste de noter les bons rapports qu’entretiennent alors les Angevins et les Clunisiens (avec
Abbon de Fleury) et le chef de cette famille, le roi de France Hugues Capet
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Autant de