Germinal
Anais : Oh mais je trouve que cette robe me grossit, pourrais-je l’échanger ?
Sibel : Mais il n’en est pas question . Vous devez me l’acheter, je n’accepte pas les échanges.
Anais : Dans ce cas, je ne reviendrai plus dans votre boutique .
Durant l’évolution des Grands Magasins .
Anais et Ibtissam promènent et croisent Hélène qui les interpelle.
Hélène : Hé mesdames, vous avez entendu parler du Bon Marché ?
Anais : Qu’est ce donc cette chose ?
Hélène : Regardez c’est écrit ici, un certain Aristide Boucicaut, un jeune normand, tente de s’assossier, suite à sa perte d’emploi, aux frères Videau qui étaient propriétaires d’un petit magasin situé dans la rue du Bac sur la rive gauche de la Seine et nommé Le Bon Marché. Suite à cela, ils se lancent dans la transformation du magasin développant alors le nouveau concept de Grands Magasins. Les changements prennent place, les prix seront affichés dès le départ contrairement auparavant, les gens auront un accès direct aux marchandises et connaîtront l’élargissement de la consommation.
Ibtissam : Ha oui je m’en souviens, j’avais entendu pas plus tard qu’hier qu’un baron au nom d’Haussmann avait engendré la transformation de Paris et suite à cela les Grands Magasins sont apparus. Espérons qu’ils connaissent un grand succès dans les années à suivre .
Hélène : Allons-y pour y jetter un coup d’œil.
Sibel : ( Uniforme, inscription du prénom sur le tableau, manger,