Délocalisation renault
La délocalisation Renault
La forte concurrence des marchés de consommation pousse les industriels à améliorer leur compétitivité en recherchant des conditions salariales et fiscales favorable à une diminution de leurs coûts de production. C’est ainsi que les grandes marques industrielles sont amenées à délocaliser. Afin d’en prendre toute la mesure nous étudierons ‘’les enjeux et les limites de la délocalisation chez Renault’’ qui fut longtemps le fleuron de notre économie. Dans un premier temps nous étudierons les enjeux de la délocalisation, puis, nous passerons aux limites de la délocalisation.
Ensuite nous répondrons à la problématique ‘’pourrais t’on envisager une relocalisation ?’’
La délocalisation est un transfert d'activités, de capitaux et d'emplois d'une entreprise dans un autre lieu afin de bénéficier d'avantages compétitif c'est-à-dire de conditions économiques plus favorables comme des bas salaires, des droits du travail plus souple, une monnaie faible et une fiscalité plus légère.
Tout d’abord Renault a commencé à délocaliser ses usines en 1977 au Mexique, en Grande-Bretagne, en Espagne, au Portugal et en Belgique. Ils ont ouvert d’autres usines en Turquie, Brésil et Argentine. Aujourd’hui il n’y a que 20 % des usines qui sont en France, soit 80 % délocalisées.
Les délocalisations ont un impact sur les destructions d’emplois industriels en France. On estime qu’annuellement ils sont responsables de 0,35% des pertes nationales. Plusieurs causes sont à l’origine de ces mouvements : la recherche de faible coûts de main d’œuvre et de production est la principale cause de ces délocalisations. Délocaliser dans les pays émergeant en quittant les pays riche permet de diminuer les coûts car les employés demande un salaire moins grand, de plus la monnaie est plus faible.
Une raison également valable est l’attirance pour les pays émergent qui sont en pleine montée de puissance et de compétence comme les quatre pays, les BRIC