Critique de l'hotel du libre échange
Cette pièce époustouflante s’est déroulée à l’Eden du 23 au 28 avril 2012 et a été mise en scène par Vincent Vanderbeeken et Benoît Pauwels. Elle se déroule en trois actes et dure deux heures quarante-cinq (entracte comprise).
Quelques mots pour commencer:
La pièce débute dans la maison du héros qui n’est rien d’autre que monsieur Pinglet, là, on y découvre la relation qu’il entretient avec sa femme. Celui-ci lui est totalement soumis contrairement à son meilleur ami, qui lui, est plutôt du genre misogyne envers sa femme. Les deux couples étant totalement instables, monsieur Pinglet voit en madame Paillardin ce qu’il n’a jamais vu chez sa femme. C’est pourquoi il va la pousser à l’adultère pour assouvir ses désirs enfuis.
Lors de l’expertise de monsieur Paillardin à l’hôtel du libre-échange après des plaintes causées par des esprits malveillants, on découvre qu’il n’est pas seul à l’hôtel, en effet les deux amants, Pinglet et madame Paillardin s’y sont retrouvés en cachette durant l’expédition de madame Pinglet chez sa sœur.
Alors commence une série de coups de théâtre provoquant la peur d’être découvert ce qui oblige les amants à user de ruse afin de ne pas se faire prendre. Au bout de la nuit, après des heures passées au commissariat, monsieur Pinglet et madame Paillardin rentrent en douce chez eux. Une chance, monsieur Paillardin n’était toujours pas rentré, et madame Pinglet avait disparu depuis la veille au soir. Ne sachant pas comment ils allaient s’en sortir à la réception des lettres du commissariat expliquant leurs faits, monsieur Pinglet chercha une excuse afin que madame Pinglet ne se doute de rien. Mais un nouveau coup de