Université de montréal | Analyse d’une organisation : Les pompiers de Montréal, le cas de la « caserne 27 » | COM 2120 TECHNOLOGIE ET TRAVAIL EN COLABORATION | | 10/11/2011 |

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Personne ne se doute de la dangerosité du métier de pompier. En plus des risques mortels que constituent les fumées suffocantes, la chaleur intense et les flammes, il n’est pas rare lors des interventions que le pompier perde contact avec ses collègues. C’est pour cela qu’ils se dotent des outils à la dernière pointe de la technologie. Il va ainsi des masques à oxygène, des détecteurs de fumées, des détecteurs de gaz et des combinaisons intelligentes.
D’autres outils des nouvelles technologies de l’information et de la communication ne sont pas laissés de coté. Pour pouvoir communiquer durant les interventions, chaque pompier est muni d’un réseau portatif. Mais pour assurer la fluidité du réseau, ils s’en servent rarement. Ils préfèrent communiquer avec la hiérarchie sur place .Ils reviendront à cette dernière façon de transmettre le message à destination.
Nous nous rendons alors bien compte que, de nos jours, la communication occupe une place majeure dans toutes les organisations. Elle contribue au bon fonctionnement et à la bonne coordination des diverses parties de celles-ci. Tout dépendant du type d’organisation, les artefacts diffèrent selon les besoins communicationnels. Ainsi, pour notre travail d’analyse, l’organisation que nous avons choisi d’étudier est celle du service de sécurité incendie de Montréal, connue aussi sous l’abréviation SIM. C’est, au niveau du personnel, le deuxième service des incendies au Canada avec plus de 2700 employés.
Au préalable, nous avons fait une recherche afin de nous informer sur les moyens de communication qu’ils utilisent et dans quels buts. Nous les