Boitelle
L’inquiétude dissimulée d’Antoine et l’attente muette et méfiante des parents traduisent l’impatience des protagonistes et leur forte émotion (la mère est « paralysée par l’émotion »). Le récit de la farce fournit une diversion et un soulagement provisoires (« le père… se dérida… sa femme … suivit l’exemple… un rire si bruyant… »). A la première réaction de refus succèdent un espoir de rapprochement et l’apaisement provisoire que fournit le spectacle de la négresse cuisinant : « la bonne femme fut émue ». Le deuxième refus de la paysanne qui confirme son entêtement et son hostilité provoque chez Antoine un « orage de chagrin » accompagné de sentiments mêlés : recherche d’une stratégie, surprise et incompréhension. L’hésitation d’Antoine ' il ne sait trop que répondre ' fait place à la colère (il est « soulevé de colère ») puis au désespoir (au sens strict « il n’y avait plus d’espoir ») et enfin au chagrin partagé (« ils se mirent à pleurer »). feaerfrfrfrfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
ffffffffffr"f"'fedyhdsgqcescdtrfdc fil du récit, les personnages éprouvent divers sentiments qui sont autant d’étapes d’une progression dramatique.
L’inquiétude dissimulée d’Antoine et l’attente muette et méfiante des parents traduisent l’impatience des protagonistes et leur forte émotion (la mère est « paralysée par l’émotion »). Le récit de la farce fournit une diversion et un soulagement provisoires (« le père… se dérida… sa femme … suivit l’exemple… un rire si bruyant… »). A la première réaction de refus succèdent un espoir de rapprochement et l’apaisement provisoire que fournit le spectacle de la négresse cuisinant : « la bonne femme fut émue ». Le deuxième refus de la paysanne qui confirme son entêtement et son hostilité provoque chez Antoine un « orage de chagrin » accompagné de sentiments mêlés : recherche