Question 2

Assurances Sécuriplus respecte le principe de la division du travail puisque ses employés sont spécialisés afin d’augmenter leur productivité.

L’autorité et la responsabilité : M. Blanchette a de l’autorité statuaire puisque dans son rapport il mentionne «Je suis toujours obligé de leur dire qu’ils ne font pas du bon boulot. Je fait mon travail de gestionnaire, il est à peu près temps qu’il fassent leur travail de commis.» En fait de sanction M. Blanchette envoi des mémos aux employés en disant qu’ils ne font pas bien leur travail et il envoi un rapport à ses supérieurs. La discipline : M. Blanchette déclare dans son rapport «Je me demande parfois si ces gens m’écoutent vraiment. On dirait parfois qu’ils sont sourds d’une oreille et qu’ils n’entendent pas de l’autre !». On sent que M. Blanchette n’a pas vraiment de disciple au sein de ses employés. Le manque de communication et de compréhension entre M. Blanchette et ses employés est flagrant et contribue grandement au mauvais rendement de ceux-ci.

L’unité de commandement : Les commis aux réclamations dépendent de M. Blanchette puisque ce dernier est leur supérieur immédiat et M. Blanchette se rapporte à son tour à son supérieur (la direction), comme dans son rapport sur les commis aux réclamations remis à la direction. Donc chaque employé dépend d’un seul patron.

L’unité de direction : Les employés dans les divisions relèvent de leur supérieur immédiat qui à son tour repose sur un seul patron et ainsi de suite jusqu’à la haute direction. Encore une fois, le rapport de M. Blanchette est un bon exemple du rapport direct entre l’employé et son directeur immédiat.

La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général : M. Blanchette mentionne ceci à la fin de son rapport « J’entend bien changer les choses et améliorer la performance autour d’ici et tant pis s’il faut congédier chacun des commis pour y arriver ! » Il est prêt à congédier ses commis au lieu de leur